Afterworlds

PKJ

18,90€

672 pages

Résumé:

Darcy Patel, dix-huit ans, a mis l'université entre parenthèses. Elle vient de signer un contrat pour publier son premier roman, Afterworlds. L'histoire de Lizzie, une ado qui échappe de justesse à une attaque terroriste en simulant la mort. Tandis que Darcy écrit et plonge dans l'effervescence de la scène littéraire new-yorkaise, Lizzie passe de notre monde à un monde intermédiaire, un lieu entre la vie et la mort, où elle va dénouer les secrets de son passé... et rencontrer le garçon de ses rêves.

Mon avis:

Scott Westerfeld nous a habitué à mieux

Déjà il ne faut pas prendre peur en voyant le pavé qu'est ce roman, plus de 600 pages tout de même! Mais le sujet me semblait assez intéressant pour me dire que l'auteur en 600 pages pouvait me garder attentive.

On suit deux histoires conjointes. Lizzie l'héroïne d'un roman et Darcy son auteur. On suit Darcy dans ses premiers pas d'auteur et Lizzie qui prend forme sous la plume et l'imagination de Darcy. Au début les deux histoires étaient vraiment pas mal, mais au fil des pages mon intérêt est retombé comme un soufflet. C'est répétitif et ennuyeux. On reconnaît certes certains aspects sympathiques de la vie d'auteur (et les moins sympathiques aussi) mais Darcy ne m'a pas passionné. Quand à Lizzie son histoire est au final plutôt banale dans le genre young-adult.

Le fait de voir l'envers du décor de l'édition c'est vraiment original et nous montre que tout n'est pas rose dans la vie d'auteur, il y a des contraintes, beaucoup quand il s'agit de retravailler son imagination ou de modifier des aspects de l'histoire. Mais tout ce qui concerne le reste, je me suis un peu ennuyée., je dois l'avouer

Le +

Permet au lecteur de se rendre compte de l'envers du décor

Le -

Trop long et ennuyeux à la fin

Je remercie PKJ pour cette lecture

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EXTRAIT

"La vie n'était pas gaie, certes. Pas gaie du tout, même - plutôt aléatoire, terrifiante et beaucoup trop fragile. Elle était pleine de sectes délirantes et de psychopathes, de moments mal choisis et de mauvaises personnes. (...) Parce qu'une seule erreur commise sous le coup de la colère légitime pouvait vous faire perdre la personne que vous aimiez le plus. Mais tout ce qui clochait dans la vie prouvait aussi qu'elle n'avait pas de prix; sinon, tout cela n'aurait pas fait aussi mal."