Michel Lafon

15,95€

460 pages

Résumé:

Gratuity a 12 ans, un nom très étrange et surtout un objectif : retrouver sa mère enlevée par les aliens. Et lorsqu'on habite, comme elle, dans un pays envahi par les Boov, d'étranges extraterrestres à huit pattes, c'est plus facile à dire qu'à faire. Surtout que les envahisseurs ont non seulement renommé notre chère planète bleue Smekland mais aussi décidé de parquer toute la population dans une réserve naturelle d'humains : la Floride. Et les oranges, ça a du bon, mais seulement pendant un temps. À bord de sa voiture volante et accompagnée de son chat Porky et d'un Boov recherché par les siens, l'adolescente va traverser les États-Unis, déclencher un mouvement de résistance, et peut-être, en chemin, déjouer plus d'une invasion alien...

Mon avis:

Pas de note puisque je ne suis pas allée jusqu'au bout du roman.

Une idée intéressante mais trop de longueur.

Je n'ai ni vu le film d'animation (mais il faudrait que je le vois, il paraît qu'il est génial), ni réussi à terminer le roman, d'où le fait que le film me semble plus indiqué dans mon cas.

J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire que se soit dû à la forme ou au contenu. Le style est lourd, il faut dire que c'est Gravity l'héroïne du roman qui écrit son histoire sous forme d'un devoir pour l'école et elle s'y reprend à plusieurs fois. çà aurait pû être cool mais pour moi non. Vous savez des fois il y a des romans avec lesquels tout va bien et d'autres non, c'est comme çà. Et malgré les bons avis que j'ai pu lire je n'ai pas dépassé la moitié. Tant pis si je suis passée à côté de quelque chose de génial.

Je remercie Les éditions Michel Lafon pour cette lecture

------------------------------------------------------------

EXTRAIT

- Bon... dis-je, tenant fermement la poire à jus. Alors si j'ajoute une petite bulle ici...

- Non, non, intervint Oh, tentant de dissimuler un sourire derrière sa main.

C'était sans doute une habitude humaine qu'il avait prise, car un sourire de Boov fait un mètre de large, alors que ses mains ne sont pas plus grosses que des raviolis.