Delirium

Hachette black moon , 18 euros   Résumé: Et si rien n'était plus dangeureux que l'amour  ? C'est la question que pose Deliri...

Hachette black moon , 18 euros
 Delirium

Résumé:

Et si rien n'était plus dangeureux que l'amour  ?
C'est la question que pose Delirium...

Lena vit dans un monde où l'amour est considéré comme le plus grand des maux. Un monde où tous les adultes de 18 ans subissent une opération du cerveau pour en être guéris. A quelques mois de subir à son tour « la Procédure », Lena fait une rencontre inattendue... Peu à peu elle découvre l'amour et comprend, comme sa mère avant elle, qu'il n'y a pas de plus grande liberté que laisser parler ses sentiments. Même si cela implique de quitter ses certitudes...
« Ils prétendent qu'en guérissant de l'amour nous serons heureux et à l'abri du danger éternellement. Je les ai toujours crus. Jusqu'à maintenant. Maintenant, tout a changé. Maintenant, je préférerais être contaminée par l'amour ne serait-ce qu'une seconde plutôt que vivre un siècle étouffée par ce mensonge. »

Mon avis

A découvrir un peu plus avec le second tome (pour ma part)

 J'étais sceptique, pourquoi? Eh bien parce que au bout de 200 pages environ je n'étais toujours pas plongée dans l'univers de Lena et Alex. Ce n'est pas que le livre est inintéressant loin de là, le sujet est même osé. L'amour vu comme une maladie c'est surprenant. Les personnages, il y a les méchants et les gentils, Magdalena la jeune fille formatée mais qui va s'épanouir (d'ailleur remarquablement!) et Alex et Hana (que je vous laisse découvrir car ils sont vraiment surprenants) mais ma réticence à me plonger pleinement dans l'histoire est peut-être du au fait que j'ai retrouvé beaucoup de similitudes avec d'autres romans du genre dystopiques. A l'âge de 18 ans les jeunes subissent une opération qui les rend différents m'a fait penser à Uglies de Scott Westerfield. La surveillance permanente des autorités sur les citoyens et le confinement des villes à Hunger Games.
Du coup tout ces similitudes aussi minimes soient elles se sont insinuées dans mon esprit et ne m'ont pas fait prendre pleinement conscience de l'histoire du livre.

Puis je l'ai repris tranquillement en faisant fit des préjugés. Et en appliquant la devise "Ne pas juger un livre avant d'avoir lu les dernières lignes", donc j'ai poursuivis, et j'ai bien fait.
Les 100 dernières pages sont palpitantes, éprouvantes et perturbantes pour le lecteur, on découvre l'atrocité de ce gouvernement sans sentiments . Et le cliffhanger (gros événement perturbateur) ajoute à la fébrilité que le lecteur ressent en lisant les dernières lignes.
Lauren Oliver sait manier les mots qui touche les lecteurs, elle décrit parfaitement les sentiments amoureux, la découverte mais aussi tout aussi bien la haine et la violence c'est assez paradoxal. Le lecteur qui suit le cheminement de pensée de Lena passe d'un état de formatage à celui de premier-né qui découvre l'amour et je dirais presque "le monde".
Pour cela je trouve le roman surprenant.
Donc oui je pourrais vous en dire des pages et des pages, mais ce roman m'a au moins montré qu'il ne faut pas juger quelque chose dès la première impression (pour ma petite expérience personnelle).

Aussi je vous conseille de le lire si vous croyez en l'amour et en tout ce qu'elle implique car à la fin de ce livre on a envie que d'une chose, se battre pour ses sentiments coûte que coûte et pour cela je suivrais les aventures de Lena dans ce combat.

[Lu en partenariat avec Hachette]
INFO :
Tome 1 – Delirium (2011)
Tome 2 – Pandemonium (2012)
Tome 3 – Requiem (2013)


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1 Commentaires

  1. Je suis heureuse de voir qu'une personne ait (enfin ) un avis au moins mitigé sur ce roman ! Je me sens moins seule tout à coup lol

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